Le Message Retrouvé, Introductions et Préfaces

Introductions et Préfaces dans le Message Retrouvé:

   Présentation au Lecteur (Emmanuel et Charles d'Hooghvorst, Janvier 1956)
   En w guise d'introduction (Emmanuel d'Hoohgvorst, Janvier 1978)
   Préface (Lanza del Vasto, Novembre 1945)

Autres Présentations du Message Retrouvé:

   Le Message Retrouvé (par Emmanuel d'Hooghvorst,
         revue suisse Inconnues n° 6, 1951, p. 3.)
   Le Message Retrouvé par Louis Cattiaux (présenté par Charles d'Hooghvorst,
        revue Epignôsis/Initiation, n °21 – octobre 1990 – Editions Dervy-Livres.)

  Le Message Prophétique de Louis Cattiaux (en PDF)
        (par Emmanuel d'Hooghvorst, revue suisse Inconnues n° 9 , 1951, p. 26.)

Le Message Retrouvé
Introductions et Préface

 

 
 

C. d'Hooghvorst

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L’extrême humiliation de la mort est l’entrée obligatoire à la splendeur de la vie céleste, car la séparation terrestre est le commencement du ciel manifesté II, 76’.

La mortification du corps doit préparer la purification de l’esprit et la régénération de l’âme

Celui qui se détourne du mystère de la mort, ne connaîtra jamais la puissance et la gloire de Dieu VIII, 5 et 5’.

La corruption met toute pureté en évidence III, 15’.

J’ai cherché la vérité jusque dans la corruption du monde, et j’ai séparé la vie de la mort IX, 2’.

Le crâne poli d’un mort nous reflète la vérité mieux que n’importe quel miroir magique IX, 12.

Mystérieux miroir des Cabalistes !

Nous avons mis l’accent sur la mort qui tient le monde dans ses griffes aveugles, mais nous avons aussi mis le doigt sur la vie qui se renouvelle constamment à travers elle .

Nous avons rappelé la serrure terrestre et la clef céleste qui ouvrent la porte du séjour de la vie bienheureuse où les enfants de Dieu se réjouissent pour l’éternité de la joie de l’Unique Splendeur .

Ainsi avons-nous délibérément perdu notre vie dans ce monde mélangé, afin de la sauver dans le royaume de Dieu XXXVII, 26, 26’ et 26’’.

Parlant des philosophes profanes, un cabaliste espagnol du XIII siècle disait :

Vous devez savoir que ces philosophes, dont vous louez la sagesse, finissent là où nous commençons .